5. Anhée – Annevoie – St-Gérard – Bioul – Warnant

Cette passionnante excursion de 2 heures 30 minutes en trottinette électrique tout-terrain a été spécialement élaborée pour les aventuriers aguerris en quête de défis et de sensations fortes. Vous serez confronté à des terrains techniques, des montées exigeantes et des descentes palpitantes, vous poussant ainsi à repousser vos limites tout en explorant les trésors cachés de la magnifique région d’Anhée.

Chez Crazytrott, nous mettons à votre disposition des équipements de qualité supérieure et un professionnel passionné prêt à vous guider tout au long de votre aventure. Votre sécurité est notre priorité absolue, et nous veillerons à ce que vous profitiez de chaque instant en toute confiance.

Alors, si vous êtes prêt à relever le défi, à vous émerveiller devant des paysages époustouflants et à vivre une expérience inoubliable, réservez dès maintenant votre balade . Attachez votre casque, ressentez l’excitation monter et préparez-vous à vivre une aventure palpitante dans la région.


1

Ile d’Yvoir

1. Ile d’Yvoir

Sur la Meuse, les îles foisonnent. Mais, la plupart du temps, le public doit se contenter de les contempler depuis les berges : elles sont inaccessibles. Pas à Yvoir ! L’île a pour particularité d’être la seule à être exploitée à des fins touristiques en Belgique depuis les années ’30.
Cette bande de terre de 900 mètres de long n’en reste pas moins un refuge naturel pour la faune et la flore mosanes. Une partie de l’île a été classée « Natura 2000 » par la Région wallonne. Vous y croiserez des oies et autres cygnes, parfois en train de couver leurs œufs. Les animaux cohabitent harmonieusement avec les visiteurs, pour autant qu’on ne les dérange pas.

L’autre moitié de l’écrin est vouée aux plaisirs et aux loisirs pour petits et grands. Les enfants passent des heures sur la plaine de jeux et son « bateau pirate ». Quant aux touts petits, ils barbotent dans la pataugeoire, sous le regard de leurs parents.
Ne cherchez pas : il n’y a pas de sable sur l’île d’Yvoir. Mais qu’importe ! Un rayon de soleil, et l’herbe verte se mue en véritable plage, où poser sa serviette. Vous préférez les loisirs d’eau ?


2

Rochers du Paradou

2. Rochers du Paradou

Dénommés aussi Rochers de Fau et/ou de Fidevoye ils sont orientés au SW c’est un important massif qui s’étend sur la rive droite de la Meuse le long d’une voie ferrée et qui regroupe au total 9 rochers d’une hauteur variant de 15 à 55 mètres, au calcaire excellent. Disposés dans le versant boisé à des niveaux différents citons entre autres, La Grande Dalle, l’Arche, les Dalles Supérieures, l’Aiguille et à l’extrême droite le Jardin Alpin. L’ensemble est centré sur une grande et magnifique dalle délimitée sur la droite et sur toute sa hauteur par dièdre. Encore sur la droite c’est une série de dalles barrées par des dièdres qui rejoint vers l’amont une belle aiguille qui se penche sur la falaise prend la même inclinaison pour former une cheminée et une brèche à son sommet.


3

Jardins d’eau d’Annevoie

3. Jardins d’eau d’Annevoie

Les Jardins d’eau d’Annevoie sont l’histoire de la famille de Montpellier dont les origines remontent au milieu du XVème siècle. C’est au début du XVIIIème siècle que Jean de Montpellier reçoit en héritage le domaine d’Annevoie, anciennement propriété de la famille de Halloy. A cette époque, la famille de Montpellier est connue pour être Maîtres de Forges. Le fils de Jean de Montpellier, Charles-Alexis, lui-même Mayeur de la cour des Ferrons, tire de cette industrie alors florissante les moyens d’aménager ses Jardins et d’agrandir le château (début des travaux vers 1758). Pour se faire, il s’inspirera de ses nombreux voyages en Europe.


4

Les 7 Meuses

4. Les 7 Meuses

Situé à Profondeville, l’établissement Les 7 Meuses propose un restaurant, un bar, une terrasse et une magnifique vue sur l’ensemble de la vallée de la Meuse.


5

Château de Bioul

5. Château de Bioul

Le château de Bioul est un château féodal avec tours et fossés. Du xie siècle au xiiie siècle, il est la propriété de la famille d’Orbais. Cette seigneurie passe ensuite à la famille féodale de Jauche (sires de Jauche, seigneurs de Gommegnies, Hierges, Sassegnies, etc) à la suite du mariage de Berthe d’Orbais, dame héritière de Bioul, avec Gérard II de Jauche. La terre de Bioul reste dans la famille de Jauche jusqu’en 1522 avant de passer à un cousin du dernier représentant mâle de la branche aînée de la famille de Jauche (Jean de Jauche) : J. de Hosden1.

J. de Hosden revend ensuite cette seigneurie à Thierry de Brandebourg le 22 décembre 1522 dont la famille la conservera jusqu’au début du xviiie siècle[réf. nécessaire].

Entre 1708 et 1870, les familles de Bilquin et de Moreau s’y succèdent. Guillaume-Nicolas de Moreau fait restaurer le château et le parc en 1776. Les Moretus-Plantin l’acquièrent en 1870, puis les Vaxelaire en 1896.

François Vaxelaire, qui a fondé les grands magasins Au Bon Marché en 1860, fait réaliser par les architectes Edmond Franken-Willemaers et Léon Cabarche des travaux d’aménagement dans le respect du style du xvie siècle. En 1920, après la mort de François Vaxelaire, ses fils, le baron Raymond Vaxelaire et l’écrivain Georges Vaxelaire, en héritent.

Le fils de Raymond, le baron François Vaxelaire, président du Groupe GIB et vice-président de l’Exposition universelle de 1958 à Bruxelles, entreprend des travaux de rénovation, en 1956, après en avoir hérité. Il fait notamment appel à l’architecte paysagiste René Pechère.

Au début du xxie siècle, la famille Vaxelaire occupe les lieux et veille à sa préservation.