8. Anhée – Haut-le-Wastia

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Les Ruines de Poilvache

1. Les Ruines de Poilvache

Le château de Poilvache est un fort médiéval en ruine situé en Wallonie dans la province de Namur (Belgique) et perché à l’extrémité d’un éperon rocheux, au sommet d’une falaise surplombant la Meuse, entre Dinant et Namur. Construit à partir du xiiie siècle, Poilvache domine le village de Houx à environ cinq kilomètres au nord de Dinant, dans la vallée de la Haute-Meuse namuroise.


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Point de vue Haut-le-Wastia

2. Point de vue Haut-le-Wastia

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Musée souvenir mai 1940

3. Musée souvenir mai 1940

Mai 1940, Haut-le-Wastia (Anhée) est au cœur des combats contre les armées hitlériennes. Conquis par les Allemands le 13 mai 1940 malgré le courage des soldats du 1er Groupe de Reconnaissance de Division d’Infanterie (1er GRDI) et une contre-attaque du 129e Régiment d’Infanterie (129e RI), le village est repris le lendemain à l’aube par le 14e Régiment de Dragons Portés (14e RDP). Il est définitivement évacué quelques heures plus tard à cause des risques d’encerclement par le Nord et par le Sud. Isolés sur la butte 122, à l’entrée Sud de la localité, les derniers défenseurs français du 129e RI sont attaqués par les panzers de la 5. Panzer-Division et déposent les armes en début d’après-midi, après un dernier combat. Retraitant vers la frontière à l’Ouest, l’armée française tente une dernière contre-attaque à Flavion le 15 mai 40, à l’aide de la 1re Division Cuirassée (1er DCR). Cette bataille, la 2e bataille de chars de l’histoire, tournera à l’avantage des Allemands.


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La Pierre du Diable

4. La Pierre du Diable

Aux premiers temps du christianisme, Saint-Martin, missionnaire zélé, prêchait dans la région de Namur. De son côté, le diable, chef du paganisme, irrité par les conquêtes du saint homme, tentait à chaque occasion de lui mettre des bâtons dans les roues. Ainsi, Saint-Martin conçut le projet d’ériger une église à Senenne-Anhée. Il s’assura de la collaboration des artisans du village, les terrassiers, les maçons, les charpentiers … et accepta aussi l’aide des femmes et des enfants pour apporter les matériaux. Par une belle nuit claire et étoilée, pendant que le démon vagabondait à travers le monde, Saint-Martin mobilisa ses chrétiens. Il bénit le lieu choisi, traça le plan de l’église, puis donna l’ordre d’en commencer immédiatement la construction. Avec une ferveur inhabituelle, les ouvriers, dévoués et compétents, continuaient leur travail nocturne. Toute la nuit, Saint- Martin priait, les yeux levés vers le ciel, jusqu’au moment où, peu avant l’aube, on plaça la grande croix de fer sur le clocher de l’église. A ce moment, Saint-Martin, suivi de la foule, pénétra dans l‘édifice pour y célébrer la messe ; A la fin de cet office, au moment de l ‘ « Ite, missa est », on entendit le coq chanter. Au premier rayon de soleil, Satan réapparut de l’autre côté de ma Meuse et se dirigea vers le rocher de Poilvache. Stupéfié, il a aperçut la nouvelle église de Senenne. Il comprit de suite que Saint-Martin était l’auteur de ce vilain tour. Alors, avec une fureur diabolique, il arracha un énorme bloc de pierre du rocher et le lança dans la direction de l’église. Heureusement, celle-ci étant déjà bénite, le Mal ne pouvait plus rien contre elle. Ce bloc de pierre, tombé au bord du Chemin des patriotes, est toujours resté là où le diable l’a lancé et s’appelle, depuis lors, « la Pierre du diable ». Quant à l’église de Senenne, construite sous les auspices de Saint-Martin, elle a attiré des fidèles des siècles durant.

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